Wikipédia:Contenus de qualité
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Articles de qualité récemment promus |
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Une Étoile de la mort (Death Star) est une station de combat spatiale de l’univers de fiction Star Wars. Mobile et de forme sphérique, elle est de la taille d'une petite lune et a une puissance de feu suffisante pour anéantir une planète entière, grâce au superlaser dont elle est équipée. Deux modèles ont été conçus et construits par le maléfique Empire galactique. Le premier, l'Étoile de la mort, est utilisé pour raser la ville de Jedha City sur la planète Jedha, une base impériale sur Scarif puis faire exploser la planète Alderaan ; il est détruit lors de la bataille de Yavin. Les opposants à l'Empire, les rebelles, viennent à bout du second modèle avant qu'il ne soit achevé, autour de la lune d'Endor. Elles apparaissent dans plusieurs films de la saga : La Revanche des Sith, Un nouvel espoir, Le Retour du Jedi et L'Ascension de Skywalker, ainsi que dans le film dérivé Rogue One. En plus des films, elles sont représentées dans les mises en roman des films dans lesquels elles apparaissent, ainsi que dans plusieurs romans, jeux vidéo et bandes dessinées. |
Les épreuves de natation lors des Jeux olympiques de 1912 de Stockholm se déroulent du samedi au lundi . Pour la première fois, le programme masculin est, pratiquement, le même que lors des Jeux précédents : en nage libre : 100, 400 et 1 500 mètres et un relais 4 × 200 mètres ; en dos : 100 mètres ; en brasse le même 200 mètres qu'à Londres auquel est ajouté un 400 mètres. Pour la première fois aussi, des épreuves féminines se déroulent (celles de 1908 ayant été annulées), en nage libre : un 100 mètres individuel et un relais 4 × 100 mètres. La première championne olympique de natation est l'Australienne Fanny Durack. Au total, 188 nageuses et nageurs venus de 17 nations sont engagés. Avec les 67 forfaits intégralement masculins, les concurrents effectifs sont 27 nageuses et 94 nageurs. Les épreuves ont lieu dans un bassin de 100 mètres de long construit pour l'occasion dans la Djurgårdsbrunnsviken, une petite baie abritée des courants par l'île de Djurgården, au cœur de la capitale suédoise. Le bassin qui abrite aussi les épreuves de plongeon et de water-polo est démonté à l'issue des Jeux et les matériaux sont revendus. Avec les entrées (48 560 spectateurs payants), l'organisation des compétitions aquatiques est largement bénéficiaire. Les sommes ainsi récoltées sont reversées au Comité olympique suédois et à l'Association suédoise de natation amateure. Les diverses courses sont prévues pour se dérouler en quatre étapes : d'abord des séries éliminatoires, puis un second tour qualificatif pour les demi-finales et enfin la finale. Le grand nombre de forfaits oblige les officiels à réorganiser les séries, juste avant le départ des épreuves, avec des conséquences parfois négatives. Ainsi, au 100 mètres nage libre masculin, les concurrents américains, dont Duke Kahanamoku qui vient d'établir le record du monde de la distance, persuadés d'être qualifiés pour la finale à l'issue de ce qui n'est que le deuxième tour ne se présentent pas aux demi-finales. Ils auraient alors dû être disqualifiés. Le nageur australien Cecil Healy qui aurait pu voir s'ouvrir devant lui un boulevard jusqu'au titre olympique, annonce que si les Américains n'étaient pas autorisés à concourir, il déclarerait lui aussi forfait. Le jury organise alors une troisième « demi-finale ». La finale est ensuite remportée par Kahanamoku devant Healy. Les 400 et 1 500 mètres masculins sont dominés par le même trio qui monte (dans le même ordre) sur les deux podiums : le Canadien George Hodgson, le Britannique Jack Hatfield et l'Australien (sous les couleurs de l'Australasie) Harold Hardwick. Hodgson fait voler en éclats les records olympiques et du monde des deux distances. En finale du 1 500 mètres, il s'adjuge même au passage le record du monde du 1 000 mètres et poursuit son effort pour établir le record du monde du mile... | |
Le match opposant l'Écosse à l'Angleterre le 27 mars 1871 est le tout premier match international de rugby de l'histoire. Apparu dans les années 1820 à la Rugby School, le rugby se développe dans toute l'Angleterre puis en Écosse à partir de 1854. Tandis que chaque club anglais établit ses propres règles — l'unification des règles de rugby football est un enjeu majeur du XIXe siècle —, les Écossais s'alignent assez rapidement, ce qui permet une meilleure cohésion. Les Anglais organisent un premier match Angleterre-Écosse, mais celui-ci n'est pas reconnu par les Écossais, leurs représentants étant des Londoniens n'ayant parfois que de très vagues liens avec l'Écosse. C'est ainsi que cinq capitaines écossais lancent un défi par voie de presse pour organiser un vrai match international. Accepté, le match est joué à la Raeburn Place d'Édimbourg devant un stade plein d'environ 4 000 personnes. Le match est marqué par les différences d'interprétation des règles entre Anglais et Écossais et plusieurs essais refusés ou contestés. La première mi-temps se résume à une forte opposition d'avants qui débouche sur un score nul et vierge. Le premier essai international de l'histoire est inscrit en deuxième mi-temps par l'Écossais Angus Buchanan ; dans la foulée, William Cross le transforme et marque à cette occasion le premier but et donc le premier point international de l'histoire (seules les transformations, les drops et les buts après marque rapportent des points à cette époque). Côté anglais, le premier essai de l'histoire est inscrit par Reg Birkett, mais il n'est pas transformé. Le match s'achève sur le score de 1 à 0 pour l'Écosse, qui remporte ainsi le premier match international de l'histoire. Ce match marque le début de la plus ancienne rivalité sportive internationale au monde, qui se sanctionne depuis 1879 de la Calcutta Cup — faisant de celle-ci le plus ancien trophée du rugby — et dont les confrontations annuelles se font désormais dans le cadre du Tournoi des Six Nations. Il a aussi impulsé de nombreux changements de règles dans le but de les unifier et a accéléré le besoin de créer une fédération écossaise de rugby : la Scottish Football Union, qui s'est créée lors du troisième match entre les deux nations. |
We Can Work It Out est une chanson des Beatles écrite et composée par Paul McCartney, avec l'aide de John Lennon, et signée Lennon/McCartney. Enregistrée aux studios EMI de Londres les 20 et durant les mêmes sessions que l'album Rubber Soul, la chanson est publiée en single le au Royaume-Uni sous le label Parlophone, et trois jours plus tard aux États-Unis chez Capitol Records. Pour la première fois dans l'histoire du groupe, le single bénéficie d'une sortie en « double face A » avec le titre Day Tripper, majoritairement écrit et composé par John Lennon. We Can Work It Out voit le jour au retour de la tournée nord-américaine des Beatles en 1965, alors que la popularité du groupe est internationale et la Beatlemania à son apogée. Le producteur George Martin et le manager du groupe Brian Epstein souhaitent la publication d'un album et deux singles inédits avant la fin de l'année 1965 et font pression sur le tandem Lennon/McCartney pour la création de nouvelles chansons. Néanmoins, alors que Day Tripper est écrite dans la précipitation, We Can Work It Out fait l'objet d'une écriture réfléchie et inspirée de l'expérience personnelle de son auteur. Les paroles traitent en effet de la relation amoureuse tumultueuse entre Paul McCartney et Jane Asher. En studio, le groupe fait preuve d’innovation dans sa musique, puisque celle-ci s’inspire d'éléments de musique country associés à la valse, et comprend l'utilisation d'un harmonium. We Can Work It Out est très bien accueilli par le public, et se classe en première position au UK Singles Chart et au Billboard Hot 100 en . La chanson confirme le succès du groupe au Royaume-Uni et à l'étranger, et contribue à la popularisation du format en « double face A ». Pour le marché américain, elle est aussi incluse sur l'album Yesterday and Today en . Elle figure sur la plupart des compilations des meilleurs succès du groupe. Comme la plupart des chansons des Beatles, We Can Work It Out bénéficie de plusieurs reprises, dont celle de Stevie Wonder, qui atteint la treizième place au Billboard Hot 100 en 1971. |
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